INCENDIE DE NOTRE DAME DE PARIS : Questions sans réponses...
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Je suis pour ma part extrêmement
choqué par la façon dont l'ensemble des médias (à l'exception du Canrd) ont traité l’événement.
Tout citoyen qui essaye de ne pas
être pris pour une bille se doit d’examiner les points suivants :
- Une
première alarme incendie est survenue à 18h20. Messe interrompue. Personne
ne recherche l’origine de cette alarme. Pas de pompiers
- Pas d’inspection des combles.
- Deuxième alarme 18h43 : là le feu est visible,
brutal et puissant dans la toiture.
- Pourquoi les
sprinklers pourtant installés ne se sont pas déclenchés ?
- Pourquoi l’enquête en cours est qualifiée de « destruction involontaire par incendie ».
Sans attendre toute conclusion. Ceci est très suspect.
- Pourquoi le secrétaire d’Etat Nunez interdit aux enquêteurs
de faire leur enquête dans la cathédrale ? Soi disant non
sécurisée !!! A d’autres… Très étrange.
- Il est par ailleurs très difficile de mettre le feu
à une poutre de chêne, surtout une poutre de 800 ans. Plus dure que de
l’acier. Les gens ordinaires qui allument le feu dans leur cheminée avec
des bûches le savent bien. (Contrairement aux soi-disant « experts »).
- Il faut en fait un agent extérieur chimique :
Essence, bombone de gaz, par exemple.
- Agent d’ailleurs signalé par les pompiers qui ont
mentionné le terme de « feu chimique » à la couleur jaune des
fumées. Alors que les fuées de bois seul sont grises. Tout le monde le
sait, mais personne ne porte attention à ce détail.
- Ce que contredisent les éminents et comiques
savants experts (Feydeau, Aillagon par exemple) qui ont défilé sur votre
antenne et d’autres : « Une cathédrale, une charpente bois, c’est
très inflammable », « ça ne demande qu’à
brûler » « d’ailleurs il y en a eu plein qui ont brûlé :
Nantes, Rouen, Parlement de Rennes (avec les archives du dossier Urba…) »
etc… Alors qu’il s’agissait pour Rouen de tout autre chose :
Bombardement, foudre. Et à l’époque aucun moyen moderne de lutte.
- Et comme par hasard à l’occasion de travaux. Quelle
coïncidence…
- D’ailleurs, au fait, il y eut St Sulpice 8
jours avant qui a failli brûler aussi. Ce qui n’intéresse personne à Paris.
Enquête en cours. Tiens, là c’est qualifié de criminel. Mais on ne sait
rien de plus.
- Pourquoi ne parle-t-on maintenant que de reconstruction :
c’est absolument indécent.
- Aucun média ne parle des acteurs de la
restauration : à savoir :
- GEDA(Société Allemande) avec filiales dans le monde
entier jusqu’en Turquie, spécialiste des restaurations. Qui a supprimé sa
fière page sur : « Une nouvelle robe pour la Cathédrale Notre
Dame de Paris ». Page que j’ai découverte DURANT L’INCENDIE et qui a
mystérieusement disparu depuis. Cherchez l’erreur. NDP : connais
pas…circulez Y a rien à voir. Pourtant ces messieurs ont l’expérience des
restaurations de cathédrales… Leur avis serait sûrement plus intéressant
que ceux de MM Aillagon et Feydeau et autres « experts ». Qui en
fait ne savent absolument rien.
- LEBRAS
et EIFFAGE dont on n’entend JAMAIS parler.
- Pour
info, en 2018 plus de 1000 églises ont été saccagées voire brûlées, sans
qu’aucun média n’en parle.
Voilà des sujets
autrement plus
intéressants que les larmes de crocodile consternantes des médias, des
« experts » qui parlent mais ne savent rien (ou ne veulent
rien savoir) et des hommes politiques,
avec leur indécente et soudaine rage de reconstruire pour raison
électorale. Et
de récolter des dons des grosses sociétés prêtes à se gaver par
ailleurs. Quelle similarité avec la crise du Covid et avec la façon
dont ont traitait les "événements d'Algérie" dans le passé !
La signification symbolique,
spirituelle et civilisationnelle que pose ce drame (et les autres que j’ai
indiqués plus haut) dépasse de loin la matérialité seule de cette Cathédrale
sacrée, profanée, humiliée et martyrisée. Tout comme le peuple Français en ce
moment.